À court terme, sur un mode “conciergerie” (utilisation manuelle par une personne ou une équipe dédiée), les parties prenantes sur les territoires pourront déjà capitaliser sur les DSP pour les aider à établir les diagnostics et à s’appuyer sur des éléments statistiques préalables.
À moyen terme, les DSP vont permettre d’enrichir la connaissance des personnes en amont du premier entretien de diagnostic afin d’individualiser l’accueil et de projeter la personne sur son parcours d’accompagnement. À cet effet, elles seront intégrées dans le module de diagnostic. Elles crédibilisent la notion de Dites-le-nous une fois (DLNUF).
Pour les territoires volontaires, un groupe de travail national - dédié à l’utilisation des DSP dans la co-construction d'un algorithme enrichi (données de la DSP, données de PE, données des CD…) et adaptable localement - sera lancé en vue de flécher les personnes vers le diagnostic le plus adapté